lundi 11 octobre 2021

Saisie de cannabis, tabacs en feuilles et de boissons alcoolisées à Ouled Taïma et Had Soualem

Saisie de cannabis, tabacs en feuilles et de boissons alcoolisées à Ouled Taïma et Had Soualem

Quelque 400 kg de cannabis et 100 kg de tabac en feuilles ont été saisis, samedi dernier, lors d’une descente policière dans un appartement situé au quartier La Résistance, à Ouled Taïma, à une quarantaine de kilomètres de la ville d’Agadir. Deux jeunes hommes, âgés respectivement de vingt-quatre et vingt-cinq ans, ont été arrêtés lors de cette opération effectuée par les éléments de la police judiciaire relevant de la sûreté d’Ouled Taïma qui ont également saisi une voiture et des armes blanches. Par ailleurs, un père de famille, sexagénaire, qui faisait l’objet de vingt-etune notes de recherche à l’échelle nationale pour trafic sans autorisation de boissons alcoolisées et de l’eau-de-vie connue communément sous le nom de «mahia», a été arrêté, vendredi dernier, à Had Soualem relevant de la province de Berrechid. Chez lui, les éléments de la gendarmerie royale de Had Soualem ont saisi une importante quantité de boissons alcoolisées.

https://aujourdhui.ma

samedi 9 octobre 2021

522 radars de nouvelle génération mis en service en 2022 au Maroc

En 2022, 522 nouveaux radars seront mis à la disposition des agents de contrôle routier de la Sûreté nationale et de la Gendarmerie royale. Les radars mobiles de nouvelle génération, permettront de contrôler la vitesse, les dépassements ainsi que le respect du feu rouge.

Pour lutter contre les excès de vitesse qui constituent l’une des premières causes de mortalité sur les routes, les autorités veulent renforcer davantage le contrôle routier, le Maroc augmentera le nombre de radars de circulation de 120 à 672 en 2022. Cette information a été rapportée par l’Agence nationale pour la sécurité routière (NARSA). Il s’agit de caméras et de radars intelligents capables d’enregistrer plusieurs types de violations.

Atteindre le nombre de 672 radars en 2022 s’inscrit contre un objectif de 1 200 initialement. Le coût de l’investissement est estimé à 278,5 millions de dirhams.

S’agissant des radars fixes, qui sont au total 552 unités, ils seront utilisés pour surveiller la vitesse et le respect du feu rouge à l’intérieur et l’extérieur des milieux urbains. Leur installation se fera juste après l’achèvement de l’opération de localisation des emplacements d’installation.

Parmi ces radars figurent 72 appareils de contrôle de la vitesse moyenne au niveau des autoroutes, 276 appareils de contrôle de vitesse hors périmètres urbains, 204 appareils de contrôle du respect des feux de signalisation de la vitesse dans les périmètres urbains.

Quant aux appareils de contrôle de la vitesse, ils seront installés au niveau du réseau autoroutier et permettront de contrôler la vitesse moyenne des véhicules au niveau des sections autoroutières sur plusieurs kilomètres.

La particularité de ces nouveaux radars est qu’en plus de la détection des infractions relatives à l’excès de vitesse et les feux de signalisation, ils peuvent détecter plus d’un véhicule à la fois, pouvant atteindre jusqu’à 24 véhicules. Ils disposent de plusieurs autres caractéristiques, à l’image de la détection des infractions relatives à la ligne continue, la distinction entre les véhicules légers et les poids lourds, la possibilité d’exploitation dans les deux sens (éloignement-rapprochement) et l’utilisation de la technique de balayage par laser.

Avec l’arrivée des nouveaux radars, le nombre de régions dotées d’une surveillance automatisée du trafic passera de sept à douze. Répartis par ordre décroissant parmi les 12 régions, 108 seront placés à Casablanca-Settat, 92 à Marrakech-Safi, 69 à Rabat-Salé-Kénitra, 62 à Fès-Meknès, 51 à Tanger-Tétouan-Al Hoceïma, 45 dans l’Oriental, 43 à Béni Mellal-Khénifra, 38 à Souss-Massa, 13 dans le Drâa-Tafilalet, 11 à Guelmim-Oued, 10 à Laâyoune-Sakia El Hamra et enfin 10 à Dakhla-Oued Ed-Dahab.

https://www.challenge.ma 

jeudi 7 octobre 2021

Maroc: Une énorme quantité de cannabis saisie au large de Nador

Une grande quantité de drogue a été saisie par la Marine Royale marocaine ce mardi, selon ce que rapporte Apanews.

Un garde-côtes de la Marine Royale, opérant en Méditerranée a avorté mardi très tôt le matin, une opération de trafic de stupéfiants en obligeant le moyen nautique rapide utilisé par les trafiquants à se débarrasser d’une quantité importante de résine de cannabis en la jetant par dessus bord au large de Nador, selon une source militaire.

La cargaison repêchée d’environ 5 tonnes a été remise à la Gendarmerie Royale de Nador pour la procédure judiciaire en vigueur, précise-t-on de même source.

https://africanmanager.com

dimanche 3 octobre 2021

Maroc : L'incendie de l’oasis de Targa totalement maîtrisé


 
 
L’incendie qui s’est déclaré, jeudi soir, dans l’oasis de Targa située au niveau de la province de Chtouka-Ait Baha a été totalement maîtrisé, apprend-on auprès des autorités locales. Aussitôt informées, les autorités locales, les éléments des Eaux et forêts, de la Protection civile, des Forces auxiliaires et de la Gendarmerie royale se sont immédiatement dépêchés sur les lieux, pour évacuer environ 70 habitants de la région et circonscrire le feu.

Un nombre important de ressources logistiques et humaines a été mobilisé afin de maitriser les flammes et venir à bout du feu. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de cet incendie qui a ravagé près de 11 hectares d’amandiers et arganiers de cette oasis, qui s’étend sur une superficie de 70 hectares.


vendredi 1 octobre 2021

À cause d'une "fake news", près de 300 migrants marocains tentent d'entrer à Ceuta

Des migrants traversent la barrière grillagée entre le Maroc et l'enclave espagnole de Ceuta, le 26 juillet 2018. Crédit : Reuters
Des migrants traversent la barrière grillagée entre le Maroc et l'enclave espagnole de Ceuta, le 26 juillet 2018. Crédit : Reuters

Mardi 28 septembre dans la soirée, environ 300 migrants, en majorité des mineurs, se sont pressées à la frontière sud de l'enclave espagnole de Ceuta. Ils avaient été encouragés par des "fakes news" publiées sur les réseaux sociaux, qui prétendaient un relâchement des autorités.

C’est une fake news qui a tout déclenché. Mardi 28 septembre au soir, des centaines de migrants marocains, pour la plupart des mineurs, ont tenté d’entrer à Ceuta, une des deux enclaves espagnoles située au nord-est du Maroc. D’après le journal local El Faro de Ceuta, ils étaient près de 300. Tous "ont été repoussés par les forces de l'ordre avant même leur arrivée à la frontière", a déclaré à l'AFP Mohamed Benaissa, responsable de l'Observatoire du nord des droits de l'Homme.

"Les services de sécurité ont établi des barrages routiers et interdit aux taxis de transporter des personnes de Tétouan à Fnideq, et d'autres villes voisines, ce qui leur a permis de contrôler la situation", indique aussi le journal. Dans le même temps, une vingtaine de personnes ont tenté un passage par la mer. Elles ont finalement été interceptées par la gendarmerie marocaine.

Le Maroc renforce ses frontières nord et sud avec Ceuta. Crédit : Google map
Le Maroc renforce ses frontières nord et sud avec Ceuta. Crédit : Google map

Une frontière prétendument moins surveillée

Ces candidats à l’exil, originaires de Fnideq, Tétouan et M’diq, se sont fiés à des informations publiées quelques jours auparavant sur les réseaux sociaux et les applications de messageries instantanées. Celles-ci prétendaient que la frontière était moins surveillée, et que les traversées vers Ceuta étaient donc réalisables.

Mardi soir, une enquête a été ouverte par la justice marocaine "pour identifier et interpeller toutes les personnes impliquées dans la diffusion de 'fake news' [fausses informations, ndlr] incitant à l'immigration illégale et prétendant, à titre frauduleux, l'allègement des procédures de contrôle frontalier", a fait savoir la Direction générale de la sûreté nationale marocaine (DGSN).

Le lendemain en début d’après-midi, des groupes de migrants marocains ont de nouveau tenté d’entrer dans l’enclave. Les forces de l’ordre ont été dépêchées des deux côtés de la frontière pour empêcher la centaine de personnes de passer de l’autre côté de la clôture.

Il y a quelques jours, le 26 septembre, la Garde civile espagnole avait arrêté 10 migrants marocains en situation irrégulière. Le groupe tentait de fuir la région de Santa Catalina, une petite île au large de la côte nord de la péninsule de Almina à Ceuta, à bord d'un bateau. Ils ont été transférés au port de la région, et leur embarcation, saisie.

Une traversée courte, mais dangereuse

La minuscule enclave de Ceuta, tout comme celle de Melilla, constituent les seules frontières terrestres de l'Europe avec l'Afrique. Bien que la distance, en mer, soit réduite entre la ville et les côtes marocaines, elle n'est pas sans danger.

"Oui, il y a des tragédies, parce que nager dans cette zone est dangereux. Déjà l’eau est froide et il y a des courants marins trompeurs", expliquait, début avril, à InfoMigrants Mohammed Ben Issa, membre de l’Observatoire des droits de l’Homme au Maroc. Début septembre, le corps d'un homme mort noyé a été retrouvé près de la plage de Tarajal.

Il y a 10 jours, un Marocain de 21 ans, Oussama El Hammoumi, a disparu en mer en tentant d’atteindre l’enclave à la nage, écrit El Faro de Ceuta. Le jeune homme, qui a utilisé de grosses bouteilles en plastique pour rester à flot, est parti de Fnideq avec deux amis : l’un a fait demi tour en chemin et a rejoint la côte marocaine, à cause des courants trop forts, l’autre a réussi à rejoindre Ceuta. Oussama, en revanche, reste introuvable.

https://www.infomigrants.net 

Chtouka-Ait Baha : Déclenchement d'un incendie dans l'Oasis de Targa

Suite à un incendie déclenché, jeudi 30 septembre, dans l’oasis de Targa, située au niveau de la province de Chtouka-Ait Baha, les autorités compétentes continuent de doubler leurs efforts afin de le maitriser.

Chtouka-Ait Baha : Déclenchement d'un incendie dans l'Oasis de Targa
Un nombre important de ressources logistiques et humaines ainsi que des éléments des Eaux et forêts, de la Protection civile, des Forces auxiliaires et de la Gendarmerie royale, a été mobilisé pour évacuer environ 70 habitants de la région pour assurer leur sécurité, apprend-on auprès des autorités locales.

Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l’incendie qui a ravagé près de 11 hectares d'amandiers et arganiers de cette oasis, qui s'étend sur une superficie de 70 hectares.

A rappeler que selon un bilan dressé par le Département des Eaux et Forêts du Ministère de l'Agriculture, la superficie ravagée par les feux a nettement baissé de 47% par rapport à l’année 2020.
 
Les efforts déployés pour lutter contre les incendies de forêt ont limité les dégâts des feux de forêt au Maroc en 2021, par rapport à l'année dernière et à ce que le pays a connu il y a dix ans (2011 -2020), a-t-elle ajouté, soulignant qu’un total de 2 782 hectares de forêts a été touché par 285 incendies de janvier à septembre 2021. « 34% de cette superficie est constituée d’essences secondaires et de formations herbacées », précise le bilan du département.

https://www.lopinion.ma 

Descente de gendarmerie dans une villa aux environs de Marrakech

Les éléments de la Gendarmerie royale de Tahanaout, dans les environs de Marrakech, ont effectué, le week-end dernier, une descente dans une villa « transformée en lieu de débauche », selon une source de Le Site info.

Plusieurs personnes dans la villa ont été interpellées. Celles-ci, dont plusieurs représentantes de la gent féminine, auraient été surprises en flagrant délit de consommation de drogues et de relations sexuelles, selon la même source.

Tous les mis en cause ont été placés en garde à vue, en attendant leur présentation devant le parquet général.

https://www.lesiteinfo.com 

mercredi 29 septembre 2021

Région d’Azilal: une fête de mariage interrompue par la gendarmerie

Les éléments de la Gendarmerie royale de la Province d’Azilal sont intervenus lors de la fête de mariage, célébrée dans un douar de la commune rurale d’Afourar et ont interpellé le marié.

Selon une source fiable de Le Site info, des représentants des autorités locales, accompagnés d’éléments de la Gendarmerie royale ont procédé à cette perquisition pour enfreinte flagrante des mesures restrictives de l’état d’urgence sanitaire, décrétées aux quatre coins du Royaume.

De même, a ajouté notre source, le nombre des invités, présents à ce mariage, a largement dépassé la capacité d’accueil autorisée par les autorités compétentes dans ce genre de célébrations, qui est de 25 personnes.

Lesquels invités ont pu quitter les lieux sans qu’aucune infraction n’ait été retenue contre eux, alors que les éléments de la Gendarmerie royale ont interpellé le marié, ainsi que les autres membres de la famille. Ces derniers ont  toutefois été remis en liberté après la rédaction de procès verbaux les concernant.

https://www.lesiteinfo.com 

Casablanca : La DGSN saisit une grosse quantité de psychotropes

Casablanca : La DGSN saisit une grosse quantité de psychotropes

Les éléments de la brigade antigangs relevant du service préfectoral de la police judiciaire de Casablanca sont parvenus, mardi soir, à faire avorter une opération de contrebande d’un important envoi de substances psychotropes composé de 26 200 comprimés de stupéfiants médicaux.

Un communiqué de la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN) précise que cette cargaison de substances psychotropes, constituée de comprimés de stupéfiants médicaux « Rivotril », a été saisie dans le quartier d’Ain Sebaa à Casablanca, immédiatement après une tentative de contrebande depuis une ville du nord de le Royaume a été détecté.

La même source indique que les recherches sur le terrain et les enquêtes se poursuivent actuellement afin d’arrêter le principal suspect impliqué dans cette affaire, une fois son identité complète établie, et de vérifier qu’il fait l’objet de recherches à l’échelle nationale dans des affaires criminelles similaires.

Le communiqué de la DGSN précise que cette opération s’inscrit dans le cadre des efforts continus déployés par les services de sécurité pour démanteler les réseaux d’apport et de promotion de stupéfiants et de substances psychotropes, qui constituent une menace réelle pour la sécurité et la sûreté des citoyens.

Une affaire similaire avait été prise en charge dans les environs de Tanger, avec la saisie d’une quantité importante de drogues et de psychotropes d’une valeur d’environ 10 millions de dirhams, détruite mardi à Gzenaya.

La destruction des drogues et des psychotropes s’est déroulée sous la supervision du parquet général du tribunal de première instance de Tanger et une commission mixte composée des représentants de la direction des Douanes, la Sûreté nationale, la Gendarmerie royale, la Protection civile, les autorités publiques et le ministère de la Santé.

Il s’agit de 7,671 tonnes de chira, 19.784 comprimés psychotropes, 672 grammes de cocaïne, 43,25 grammes d’héroïne, 80,52 kg de cannabis (kif), 54 kg de poudre de kif mélangé au tabac, 17,15 kg de tabac, 47 paquets de cigarettes de contrebande, 14 unités pour emballer le tabac et 6 kg de tabac de narguilé (chicha), précise la DGSN.

https://fr.hespress.com 

samedi 25 septembre 2021

Skhirat: un « raqi » interpellé pour agression

De source concordante, Le Site info a appris que les éléments de la Gendarmerie royale de la ville de Skhirat ont interpellé un « raqi » et deux autres individus, après une plainte déposée par une femme et sa fille.

Dans sa plainte, qui a conduit à leur arrestation, la mère soutient qu’elle a été victime de coups au niveau du visage et de la tête par les trois mis en cause. Ces derniers ont été transférés, ce jeudi matin, à la prison locale El Arjat 1 à Salé, a ajouté notre source.

Cette affaire d’agression physique, selon la plainte déposée auprès de la Gendarmerie royale de Skhirat, remonte au temps où la dame s’est rendue chez le « raqi ». Cependant, à ses dépens, la séance de « roqya » s’est transformée en agression perpétrée par le « raqi’ et de ses deux assistants.

https://www.lesiteinfo.com

jeudi 23 septembre 2021

Tanger-Med : Saisie de 22,8 kg de cocaïne en provenance de l’Espagne

La police judiciaire du district de sûreté du port de Tanger-Med a avorté jeudi 23 septembre 2021, une tentative de trafic de 22,8 kilogrammes de cocaïne à bord d’un camion de transport international immatriculé au Maroc.

Dans un communiqué, la DGSN a indiqué que les opérations de contrôle ont permis de saisir une quantité de cocaïne bien empotée dans un chargement d’équipements ménagers, après son arrivée au port Tanger-Med en provenance d’un port espagnol.

Selon la même source, le chauffeur de ce camion, âgé de 26 ans, a été arrêté et placé en garde à vue à la disposition de l’enquête confiée au service préfectoral de la police judiciaire de Tanger sous la supervision du parquet compétent, afin d’élucider les éventuelles ramifications aux niveaux national et international de cette activité criminelle transfrontalière.

Cette opération sécuritaire s’inscrit dans le cadre des efforts intenses fournis par les services de la sûreté nationale pour lutter contre le trafic international de drogue, en particulier les comprimés psychotropes introduits depuis l’Europe.

https://maroc-diplomatique.net

Saisie de cannabis, tabacs en feuilles et de boissons alcoolisées à Ouled Taïma et Had Soualem

Quelque 400 kg de cannabis et 100 kg de tabac en feuilles ont été saisis, samedi dernier, lors d’une descente policière dans un appa...