Rabat – Les patrouilles de la Gendarmerie Royale de la commune de Harhoura sillonnent, de jour comme de nuit, les localités relevant de leur compétence, pour assurer le respect des mesures sanitaires mises en place par les pouvoirs publics, afin de limiter la propagation de la pandémie du Covid-19.
La mission de ces équipes consiste à contrôler le respect des mesures décrétées par les autorités, notamment l’obligation du port du masque, l’interdiction des déplacements en dehors des cas prévus par la loi, le respect des horaires de fermeture des commerces ou encore l’interdiction des déplacements nocturnes.
“Dans le cadre du contrôle de respect des mesures de l’état d’urgence sanitaire, les éléments de la Gendarmerie Royale veillent, à travers les barrages fixes aux entrées et aux sorties de leurs zones de compétence, au contrôle des déplacements des usagers de la route, conformément aux instructions en vigueur”, a déclaré à la MAP, le Commandant de la compagnie de la Gendarmerie Royale de Harhoura, Chakir Chkil.
Les éléments de la Gendarmerie Royale mobilisés dans la commune de Harhoura luttent sans relâche, pour limiter la propagation de la pandémie meurtrière et veiller à la sécurité sanitaire des citoyens.
Ainsi, les patrouilles de la Gendarmerie Royale de la commune sont déployées en 14 équipes, réparties sur trois barrages fixes, huit points de contrôle et trois patrouilles mobiles mixtes, en collaboration avec les Forces auxiliaires et les autorités locales.
Chaque automobiliste, motocycliste, chauffeur de bus ou de camion est tenu de présenter son attestation de déplacement provisoire, faute de quoi, il devra subir les conséquences de sa négligence et de son irrespect des mesures conformément à la loi en vigueur.
A cet égard, les éléments de la Gendarmerie rapportent qu’un bilan provisoire fait état de plus de 28.000 affaires de violation de l’état d’urgence enregistrées dans leur ressort, depuis l’entrée en vigueur de ces mesures.
La mission de ces patrouilles ne se limite pas à la verbalisation des contrevenants, mais consiste également en des actions de sensibilisation menées conjointement dans le cadre d’équipes mixtes, comprenant des éléments des Forces auxiliaires et des représentants de l’autorité locale.
Pour réussir sa mission, la Gendarmerie Royale déploie tous les moyens dont elle dispose pour assurer un contrôle rigoureux et permanent des territoires placés sous sa responsabilité.
Des drones sont ainsi utilisés au niveau de toutes les unités territoriales permettant d’élargir le champ de surveillance des gendarmes et des patrouilles équestres et motorisées (quads), déployés dans les plages et les forêts pour prévenir toute violation à l’état d’urgence.
Du côté des automobilistes, Mohamed, un jeune conducteur, salue les efforts considérables déployés par les éléments de la Gendarmerie Royale pour assurer le respect du confinement et des mesures sanitaires.
“Le virus disparaîtrait rapidement si tout le monde respectait les mesures mises en place par les pouvoirs publiques”, a-t-il souligné, ajoutant que s’il emprunte cette route aujourd’hui, c’est uniquement pour se rendre au travail, puisque le télétravail est impossible dans son cas.
“Je sors le moins possible, mais aujourd’hui j’y suis contraint, car je me rends au travail”, précise-t-il, affirmant que lorsqu’il rentre chez lui, il veille à bien se désinfecter les mains pour préserver la santé de sa petite famille.
La mission de ces équipes consiste à contrôler le respect des mesures décrétées par les autorités, notamment l’obligation du port du masque, l’interdiction des déplacements en dehors des cas prévus par la loi, le respect des horaires de fermeture des commerces ou encore l’interdiction des déplacements nocturnes.
“Dans le cadre du contrôle de respect des mesures de l’état d’urgence sanitaire, les éléments de la Gendarmerie Royale veillent, à travers les barrages fixes aux entrées et aux sorties de leurs zones de compétence, au contrôle des déplacements des usagers de la route, conformément aux instructions en vigueur”, a déclaré à la MAP, le Commandant de la compagnie de la Gendarmerie Royale de Harhoura, Chakir Chkil.
Les éléments de la Gendarmerie Royale mobilisés dans la commune de Harhoura luttent sans relâche, pour limiter la propagation de la pandémie meurtrière et veiller à la sécurité sanitaire des citoyens.
Ainsi, les patrouilles de la Gendarmerie Royale de la commune sont déployées en 14 équipes, réparties sur trois barrages fixes, huit points de contrôle et trois patrouilles mobiles mixtes, en collaboration avec les Forces auxiliaires et les autorités locales.
Chaque automobiliste, motocycliste, chauffeur de bus ou de camion est tenu de présenter son attestation de déplacement provisoire, faute de quoi, il devra subir les conséquences de sa négligence et de son irrespect des mesures conformément à la loi en vigueur.
A cet égard, les éléments de la Gendarmerie rapportent qu’un bilan provisoire fait état de plus de 28.000 affaires de violation de l’état d’urgence enregistrées dans leur ressort, depuis l’entrée en vigueur de ces mesures.
La mission de ces patrouilles ne se limite pas à la verbalisation des contrevenants, mais consiste également en des actions de sensibilisation menées conjointement dans le cadre d’équipes mixtes, comprenant des éléments des Forces auxiliaires et des représentants de l’autorité locale.
Pour réussir sa mission, la Gendarmerie Royale déploie tous les moyens dont elle dispose pour assurer un contrôle rigoureux et permanent des territoires placés sous sa responsabilité.
Des drones sont ainsi utilisés au niveau de toutes les unités territoriales permettant d’élargir le champ de surveillance des gendarmes et des patrouilles équestres et motorisées (quads), déployés dans les plages et les forêts pour prévenir toute violation à l’état d’urgence.
Du côté des automobilistes, Mohamed, un jeune conducteur, salue les efforts considérables déployés par les éléments de la Gendarmerie Royale pour assurer le respect du confinement et des mesures sanitaires.
“Le virus disparaîtrait rapidement si tout le monde respectait les mesures mises en place par les pouvoirs publiques”, a-t-il souligné, ajoutant que s’il emprunte cette route aujourd’hui, c’est uniquement pour se rendre au travail, puisque le télétravail est impossible dans son cas.
“Je sors le moins possible, mais aujourd’hui j’y suis contraint, car je me rends au travail”, précise-t-il, affirmant que lorsqu’il rentre chez lui, il veille à bien se désinfecter les mains pour préserver la santé de sa petite famille.