Encore des morts. Il s’agit de quatre Sénégalais qui ont perdu leur vie au large des côtes marocaines. Ces jeunes ont voulu traverser la Méditerranée pour rejoindre l’Europe.
Le bilan ne cesse de s’alourdir. La mer a encore avalé des vies. Ils sont au total quatre Sénégalais à périr au large de Tanger, deuxième ville économique du Maroc, située à l’extrémité Nord-Ouest du Royaume chérifien sur le Détroit de Gibraltar et sise à 24 Kilomètres de la côte espagnole.
C’est pour dire que les Etats africains ont encore du pain sur la planche. Car, ils ont du mal à réduire ou freiner ces jeunes qui tentent toujours de traverser la Méditerranéen. Jusqu’ici, aucun Etat ne peut parvenir à convaincre ces jeunes africains.
En réalité, les discours ne peuvent pas arrêter ce mal ; il faut des actions concrètes sur le terrain.
Parmi les disparus, deux corps ont été retrouvés, au large des côtes marocaines. Il s’agit respectivement des défunts Mourtalla Dienne, né le 01/01/1988 à Ndienne, et de Dame Mboup, né le 20/10/1987 à Yeumbeul. Deux autres Sénégalais sont portés disparus et font l’objet d’une recherche de la part de la Brigade maritime de la Gendarmerie royale (Port Tanger Med). Les corps sans vie repêchés sont déposés à la morgue de l’hôpital Med V.
Les autorités sénégalaises sont dans un mutisme total. Elles ne peuvent pas dissuader ces jeunes sénégalais qui assiègent toujours les ambassades. A défaut d’obtenir un visa, plusieurs sont obligés de se rabattre vers la mer.
En quittant le Sénégal, ces jeunes ne savent même pas quel chemin emprunter. Pour eux, il s’agit uniquement de quitter le Sénégal.
En tout état de cause, le drame survenu au large des côtes marocaines a aussi enregistré deux rescapés subsahariens (un Ivoirien et un Guinéen).
Le bilan ne cesse de s’alourdir. La mer a encore avalé des vies. Ils sont au total quatre Sénégalais à périr au large de Tanger, deuxième ville économique du Maroc, située à l’extrémité Nord-Ouest du Royaume chérifien sur le Détroit de Gibraltar et sise à 24 Kilomètres de la côte espagnole.
C’est pour dire que les Etats africains ont encore du pain sur la planche. Car, ils ont du mal à réduire ou freiner ces jeunes qui tentent toujours de traverser la Méditerranéen. Jusqu’ici, aucun Etat ne peut parvenir à convaincre ces jeunes africains.
En réalité, les discours ne peuvent pas arrêter ce mal ; il faut des actions concrètes sur le terrain.
Parmi les disparus, deux corps ont été retrouvés, au large des côtes marocaines. Il s’agit respectivement des défunts Mourtalla Dienne, né le 01/01/1988 à Ndienne, et de Dame Mboup, né le 20/10/1987 à Yeumbeul. Deux autres Sénégalais sont portés disparus et font l’objet d’une recherche de la part de la Brigade maritime de la Gendarmerie royale (Port Tanger Med). Les corps sans vie repêchés sont déposés à la morgue de l’hôpital Med V.
Les autorités sénégalaises sont dans un mutisme total. Elles ne peuvent pas dissuader ces jeunes sénégalais qui assiègent toujours les ambassades. A défaut d’obtenir un visa, plusieurs sont obligés de se rabattre vers la mer.
En quittant le Sénégal, ces jeunes ne savent même pas quel chemin emprunter. Pour eux, il s’agit uniquement de quitter le Sénégal.
En tout état de cause, le drame survenu au large des côtes marocaines a aussi enregistré deux rescapés subsahariens (un Ivoirien et un Guinéen).